Tendance 2022 : découvrez le classement des prénoms les plus donnés
Chaque année, une enquête de l’Insee révèle la liste des prénoms les plus donnés en France. Si ce classement a tendance à rester stable, il comporte cette année quelques surprises. Découvrez-les à travers notre classement.
Une enquête traditionnelle prisée des Français
Tous les ans, l’Insee délivre les résultats de sa traditionnelle enquête qui divulgue les dernières tendances en matière de choix de patronymes donnés aux petits Français. Au fil du temps, les Français ont opté en majorité pour des patronymes de plus en plus courts, du côté des filles comme des garçons.
Les prénoms les plus donnés aux garçons
L’an dernier, les petits Léo avaient détrôné le numéro un sur le podium, qui conservait jalousement sa place depuis une décennie. Gabriel retrouve cette année son trône avec plus de 4 974 naissances en 2021, suivi de 9 prénoms qui sont en nette progression par rapport à l’an dernier :
- Léo (4 358 naissances) ;
- Raphaël (3 957) ;
- Louis (3 715) ;
- Arthur (3 598) ;
- Jules (3 594) ;
- Maël (3 438) ;
- Noah (3 384) ;
- Adam (3 148) ;
- tandis que Lucas, en 10e place, garde tout de même de sa splendeur au sein du top 10 avec 3 054 nourrissons qui portent ce prénom.
Les prénoms les plus attribués aux filles
Cette année, l’enquête de l’Insee révèle que le top 3 concernant les prénoms les plus donnés aux petites filles reste intact. En première place, nous retrouvons Jade, prénom affecté à 3 802 naissances, la place numéro 2 est pour Louise, dont le patronyme a été attribué 3 768 fois tandis qu’Emma, devenu un prénom classique, conserve sa 3e place avec 3 202 attributions. Les prénoms qui suivent dans le Top 10 font également l’objet d’une croissance fulgurante :
- Ambre (3 017) ;
- Alice (2 769) ;
- Rose (2 703) ;
- Anna (2 515) ;
- Alba (2 504) ;
- Romy (2 446) ;
- et Mya (2 430).
Un top 10 qui concerne seulement 1 % des naissances
Malgré un top 10 stable, les prénoms cités ci-dessus ne concernent que 1 à 2 % de la nouvelle population. De plus en plus originaux dans le choix des prénoms de leurs enfants, les Français ne tiennent généralement pas compte de ces classements pour déterminer celui de leur nourrisson.
Notez qu’autrefois, le numéro un du podium pouvait concerner jusqu’à 5 % des naissances. De plus en plus large, la diversité des prénoms pouvant être attribués a réduit de manière significative ce pourcentage au fil du temps.
